Je sais, le jeu de mots qui se cache (grossièrement) dans le titre de cet article est affligeant, et me rappelle ces salons de coiffure que l’on voit (malheureusement) un peu partout et dont l’enseigne arbore fièrement un ingénieux « Diminu’tif » ou autre « Créa’tif ». Mais bon, que voulez-vous, on ne se refait pas. Et en plus, j’ai une excuse, je n’ai dormi que 3 heures la nuit dernière.
Bref, nous étions à l’édition 2013 de la Brighton Breeze, et nous en avons pris plein les yeux… Retour sur ce week-end riche en émotions… et en lipides.
Une traversée sans encombre (mais sans sommeil…)
Nous sommes 7 ou 8 Combi à nous donner rendez-vous au restau à Dieppe le Vendredi soir, et après avoir dégusté quelques portions de moules-frites au Neufchatel (ce qui frôle l’inconscience avant une traversée en bateau), nous nous rendons à l’embarquement du ferry pour Newhaven, et levons les réhausses, espérant pouvoir y dormir quelques heures avant le départ prévu à 5h30. C’est malheureusement sans compter sur ce type dont le métier consiste à taper aux vitres de toutes les voitures dès 3 heures du matin avec un petit sourire sadique (bon, je ne l’ai pas vu mais j’imagine), histoire que tout le monde passe les contrôles au plus vite et que ses collègues douaniers aillent se recoucher rapidement.
Quelques heures de ferry plus tard, nous arrivons à Newhaven, à 8h30 heure locale, et prenons la route (à gauche) direction Brighton, non sans une certaine excitation malgré la fatigue générale.
Et là, c’est le choc…
Dès notre arrivée à Brighton, vers 9h, nous sommes dirigés par les membres du Split Screen Van Club (SSVC), organisateurs (irréprochables) de l’évènement, vers la Madeira Drive. Nous y rejoignons les quelques centaines de Combi déjà sur place, et commençons à nous enthousiasmer sur les superbes exemplaires présents.
A peine le temps de nous remettre de nos émotions avec un petit café, que le convoi de Combi venant de Londres arrive et envahit l’avenue pendant plusieurs heures en un flot incessant, formant le plus bel embouteillage qui puisse exister. Jamais vu autant de Combi. Encore moins autant de Splits. ;-)
Vers midi, tous les véhicules inscrits (plus de 1.000 véhicules au total) sont désormais exposés, comptant quelques T3/T4/T5, un peu de T2b, beaucoup de T2a et énormément de Splits ! Autant dire qu’il faudrait plusieurs jours pour pouvoir les examiner dans le détail…
What's Your Reaction?
Ah, un Combi Volkswagen... Cela faisait des années que Sébastien en rêvait. Jusqu'à ce que le rêve se concrétise enfin avec un beau VW T2b Westfalia de 1975 originaire des Hautes-Alpes puis un VW Split SO42 de 1966, qui sillonnent désormais les petites routes bretonnes aux environs de Rennes... et bien d'autres! Le début d'une longue et belle aventure, que Sébastien décide alors de partager avec enthousiasme sur le web en créant BeCombi. Alors be happy, be Combi!
Heureux d’avoir partagé ce WE avec toi, ta moitié, Nicolas et sa moitié :) Certes, c’est très fatiguant mais que de souvenirs engendrés :)
A bientôt pour de nouvelles aventures.
« One Life, live it » ;)
Toutes ces moitiés, ça fait combien ?
Désolé, je suis encore sous le choc… ;-)
A bientôt et très heureux également d’avoir partagé ce week-end et ces grands moments avec vous !
Et beh… Je croyais m’être habitué au niveau de tes photos, mais non. Je suis encore une fois bluffé. Un sacré week end !
Merci ! Mais c’est facile quand il s’agit de prendre de beaux véhicules en photo.
Cela aurait été plus difficile à un meeting de Kangoo… ;-)
Quel beau week-end ! On en a pris plein yeux. Pour des néophytes comme nous ce fut LA rencontre avec des spécialistes et amoureux incollables des combis. Nous avons été impressionnés par tant de détails, d’accessoires et d’imagination.
C’est marrant, t’as envoyé ton message à 21h42 tout pile… ;-)
Très prochainement, mon article sur le meeting Renault Espace.